• Un nouveau départ :"I need your Lights, I need your Love"

    Heeey salut à tous, aujourd'hui on se retrouve pour une toute nouvelle Fanfic ;) 

    Et oui, j'ai beaucoup réfléchis ses derniers temps, et honnêtement je trouve déjà sublime mes premiers écrits 

    Ils sont certes assez badants, mais moi il me plaisent énormément j'ai juste adorer les écrire !

    Mais bon, assez parlé de moi, revenons plutôt à cette Fanfic

    Déjà c'est une Pandrof winktongue

    Ensuite elle est raconté par Maitre Panda

    Après, chaque chapitre comportera normalement une chanson (existante ou non)

    Et le nom du chapitre sera le nom de la chanson.

    (Vous allez comprendre XD)

    Le premier chapitre est peut être un peu court mais il place une situation initiale, je vous laisse donc le découvrir ^^

    Ahhh et le nom de la fanfic est 

    I Need Your Light

    I Need Your Love

    (qui signifie en français, pour les non bilingues, J'ai Besoin De Ta Lumière, J'ai Besoin De Ton Amour)

    (Enjoy, je vous laisse une petite photo prise aujourd'hui, que je trouve assez jolie winktongue)

     

     

    Stitches

     

          Comme tous les matins, je me réveillais en sursaut, les cheveux en bataille, les joues rouges et le dos trempé d'une sueur moite qui collait à mon kigurumy. Comme toutes les nuits, j'avait rêvé de son corps contre le mien, de ses caresses, de ses baisers, de nos cris, de nos gémissements. Et comme tous les matins, je revenais à ma triste réalité...

    Pendant encore de longues heures j'allais devoir subir son regard emprunt de haine et de mépris, ses paroles meurtrières et tranchantes comme des lames de couteaux et son attitude emplit d'aversion et de dégout à mon égard, brisant un peu plus mon coeur meurtri.

    Je ne l'aimais pas, j'étais fou de lui, et lui me haïssait, me maudissait. Cela pouvait se comprendre, je lui avais en quelques sortes volé sa place, mais je pensais que l'eau avait pu couler sous les ponts, que le temps avait effacé sa rancoeur, mais non, le temps n'avait fait qu'envenimer les choses, la haine qu'éprouvait le détenteur de la science infuse à mon égard ne fit que s'accroitre...

    Je me résigna à quitter ma chambre, faisant un détour par la salle de bain, je fus cloué sur place par mon image qui se reflétait dans le miroir. D'énormes cernes se formaient sous mes yeux, ces derniers ne brillaient plus comme auparavant, leur éclats avait disparu, les mèches de cheveux qui s'échappaient de la capuche du pyjama japonais étaient ternes et paraissaient sales, une barbe d'une semaine se développait sur mes joues devenues saillantes. Mon corps entier semblait plus maigre et plus fragile, ce qui était compréhensible vu que j'avais pratiquement cessé de me nourrir.

    J'avais effectuer mes recherches sur l'anorexie, cela m'avait terrifié… Mais je semblais avoir tous les symptômes, l'idée que la bouffe m'était inutile, les nausées au moindre aliment que j'ingurgitais et ce mal être qui me rongeait...

    Une larme roula sur ma joue et vint s'écraser contre le sol, je renifla tristement en essuyant la trace humide qui lacérait mon visage et sortit de la pièce sans demander mon reste.

    J'alla m'assoir dans le salon sans adresser un regard à quiconque, même si je sentais celui de Mathieu qui se faisait insistant. Je releva doucement les yeux vers lui, ses prunelles semblables à deux océans infinis rencontrèrent les miennes désormais vides de tout sentiment positif. L'expression qui se lisait sur le visage de mon créateur était l'inquiétude, une terrible appréhension qu'il tentait à peine de cacher. Pourtant il ne me demanda rien et se contenta de m'observer, la mine contrite, je lui en étais reconnaissant, je n'avais aucune envie que l'on s'apitoie sur mon sort. Ce fut l'arrivée du Prof qui me fit sortir de cet "état second", il venait juste prendre son café quotidien mais dès qu'il m'aperçut, son visage se ferma et il me fit rapidement comprendre que ma présence l'indisposait car il se contenta de me regarder avec une mimique de répulsion et de quitter la pièce à la hâte.

    Mon coeur se fissura un peu plus, et poussé par une sorte d'instinct ou d'ignorance, je le suivit jusqu'à son labo et entra en ouvrant violemment la porte. Le scientifique, qui s'était remis à bucher avec assiduité comme à son  habitude, sursauta et fit tomber au sol un tube à essaie rempli au trois quart d'un liquide rouge sang, qui se brisa en rencontrant le carrelage du laboratoire. Il me regarda en fronçant les sourcils, son expression partagée entre la surprise, la méfiance et l'exaspération. Sa voix cassante et monocorde vint briser le silence qui planait dans la pièce :

       "On peut savoir ce qui vous prend d'entrer comme une bête sauvage dans MON espace personnel, sans mon autorisation ?

    -Prof, je… Je veux juste avoir une conversation un tant soi peu civilisée avec vous… Je ne vous demande pas la Lune.

    -Aussi étrange que cela puisse paraitre, je n'ai aucune envie de m'entretenir avec une race qui m'est inférieure, de plus vous me dérangez alors je vous prierez de bien vouloir sortir d'ici."

    Ces mots me firent l'effet d'une douche froide et la peine qui se terrait au fond de moi et qui ne demandait qu'à sortir me submergea :

        "Vous… Vous êtes ignobles. Vous vous contentez de rester sur vos aprioris, de rester perché sur votre petit piédestal en vous contentant de me mépriser et de nourrir une profonde haine envers moi, sous un prétexte dont je ne suis même pas coupable ! Ai-je vraiment mérité ce que vous me faites subir ?!" 

    Mes larmes jaillirent comme l'eau d'un rapide furibond, ne pouvant plus supporter cette frustration, je me rua sur la porte et quitta cet horrible lieu. Malheureusement, en sortant précipitamment je rentra de plein fouet dans le criminel dévergondé dont j'étais le "jumeau", je me releva pitoyablement en essayant de contenir mes sanglots sous le regard à la fois intrigué et inquiet de l'homme en noir. Alors que je m'apprêtais à filer hors de ses griffes, ce dernier me retint par le poignet et me demanda avec une voix dans laquelle on percevait une légère tension :

        "Eh Peluche, ça va pas ?

    -Qu'est ce que tu crois ? Tout baigne ! C'est pour ça que je suis en larmes, pour vous faire partagé mon euphorie ! Nan mais ça t'arrive de réfléchir parfois ?! Evidement que je vais mal, ça se voit pas ?!" 

    Il me regarda, troublé par mes paroles et relâcha son emprise en tournant les talons, me murmurant simplement :

    "J'insiste pas. Mais ça se voit que tu as besoin d'aide gamin…"

    Je me dépêcha d'aller dans ma chambre et de m'y enfermer, les mains tremblantes, je m'empara d'une feuille et d'un stylo et me mit à écrire :

    Il est vrai que j'ai pu souffrir auparavant

    Mais personne à part toi ne m'a laissé cette douleur.

    Tes mots me coupent plus profondément qu'une lame de cutter.

    Et désormais j'ai besoin qu'on me ramène à la vie.

    J'ai le sentiment que je m'effondre.

    Mais je sais que je m'en sortirais vivant.

    Si seulement je pouvais t'appeler "Mon Amour"

    Je n'arrive pas à t'oublier.

     

    Et là encore, tu me regardes saigner, jusqu'à en suffoquer.

    Je tremble, tombant à genoux.

    Moi qui rêve simplement de t'embrasser

    J'ai besoin de point de suture.

    Je m'effondre sur moi même, je souffre encore et te supplie de venir à mon secours.

    Moi qui rêve simplement de t'embrasser

    J'ai besoin de points de suture.

     

    Tu m'as attiré et éblouit par ta lumière.

    Mais à cause de ma naïveté mes ailes ont brulé.

    Ton coeur de glace ne semble avoir aucune faille.

    Et je me met à regretter d'être fou de toi.

    J'ai le sentiment que je m'effondre.

    Mais je sais que je m'en sortirais vivant.

    Si seulement je pouvais t'appeler "Mon Amour".

    Je n'arrive pas à t'oublier.

     

    Et là encore, tu me regardes saigner, jusqu'à en suffoquer.

    Je tremble, tombant à genoux.

    Moi qui rêve simplement de t'embrasser

    J'ai besoin de point de suture.

    Je m'effondre sur moi même, je souffre encore et te supplie de venir à mon secours.

    Moi qui rêve simplement de t'embrasser

    J'ai besoin de points de suture.

     

    Mais l'aiguille se brise et le fil se tord.

    Il m'est impossible de te sortir de ma tête.

    Alors l'aiguille se brise et le fil se tord.

    Quitte à en crever, finir mort et liquidé...

     

    ( Parole traduction Stitches Sawn Medes et aussi de moi même ;) )

     

     


  • Commentaires

    1
    Samedi 24 Septembre 2016 à 23:10

    Je trouve que c'est un bon 1er chapitre . J'en est eu les larmes au yeux .

      • Dimanche 25 Septembre 2016 à 20:24

        Merci ma chérie, trop heureuse qu'il t'es plu <3 

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